Selon une nouvelle étude commandée par la Confédération européenne des syndicats (CES), ce sont les investissements dans les infrastructures énergétiques, les transports, la technologie des téléphones intelligents et les nanotechnologies qui auront l’impact le plus important sur la croissance économique et l’emploi.
Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré à propos du Semestre européen :
« J’entends que l’on s’inquiète beaucoup à propos de l’emploi et de la croissance mais je ne vois que les mêmes vieilles solutions inefficaces. »
« Je ne peux admettre que l’on dise que les réformes structurelles et la responsabilité budgétaire sont salutaires. Beaucoup de ce qui a été entrepris ces dernières années n’a fait qu’augmenter le chômage et le travail précaire et anéantir la demande. »
Commentant le plan Juncker pour l’emploi et l’investissement, Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« Je me réjouis de toute tentative d’accroître les investissements qui favoriseraient la création d’emplois mais je doute que les 21 milliards d’euros de M. Juncker suffissent à lever les 315 milliards d’euros espérés. »
« La Commission européenne semble compter sur un miracle financier comme celui de la multiplication des pains. »
Discours de Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la CES, lors du congrès de l'EFFAT.
[Le texte prononcé fait foi]
Président,
Cher Harald,
Cher(e)s collègues,
C'est un plaisir de partager avec vous ce moment important dans la vie de votre organisation. Votre congrès.
Je vous apporte le soutien chaleureux et amical des membres de la confédération européenne des syndicats.
La Confédération européenne des syndicats (CES) s’inquiète de ce qu’un avis de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) du 20 novembre menace de remettre en cause les règles nationales, souvent négociées avec les syndicats, limitant le recours aux travailleurs intérimaires.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de novembre 2014.
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Bonne lecture
Ce plan est-il suffisant pour faire une vraie différence ? Pour sortir l’économie européenne de la stagnation et éloigner la zone euro de la déflation, un considérable effort d’investissement est nécessaire. Le plan d’investissement de la CES évoque un montant de 250 milliards d’euros soit 2% du PIB européen par an sur dix ans.
En prélude à la réunion des ministres européens du Commerce, la Confédération européenne des syndicats (CES) a appelé à un réexamen en profondeur d’importantes négociations commerciales avec le Canada et les États-Unis.
Le 21 novembre, le Conseil doit discuter d’un accord avec le Canada (l’Accord économique et commercial global, AECG), à propos duquel la Commission a annoncé la fin des négociations, et des négociations en cours avec les États-Unis (le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement, PTCI).
Lors de la réunion du G20 à Brisbane, une délégation de la Confédération syndicale internationale (CSI) réclamera un plan en faveur de la croissance et de l’emploi ainsi que des politiques pour stimuler la demande, réduire les inégalités et créer des investissements.
Sharan Burrow, Secrétaire générale de la CSI, a déclaré « Les gouvernements sont en train de donner la priorité à des politiques soutenant les intérêts des grandes entreprises, mais ne luttant pas contre les inégalités salariales et la hausse du chômage. »
La Confédération européenne des syndicats (CES) a signé et soutient pleinement l’appel en faveur d’une taxe ambitieuse sur les transactions financières (TTF) pour une solidarité nationale et internationale. La CES estime qu’une telle taxe permettrait à l’Union européenne de financer les investissements plus que nécessaires à la création d’emplois et à une transition juste vers une économie à faible production de carbone.
Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la CES a commenté les prévisions économiques européennes automnales qui annoncent une faible croissance économique et une « modeste » reprise du marché de l’emploi. Elle a déclaré :
Berne, 24 octobre 2014
[Le texte prononcé fait foi]
Président, chères camarades et chers camarades,
Bonjour. Je suis très heureuse d’être ici et de prendre part au 55ème congrès de l’Union Syndicale Suisse.
Réagissant à l’accord du Conseil européen sur le climat, Bernadette Ségol, la Secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
« La réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre est un effort louable. Toutefois, l’Europe ne générera pas d’investissement ni créera de nouveaux emplois au égard à ses objectifs peu ambitieux en matière d’énergie renouvelable et d’efficacité énergétique. »