Bruxelles, 04/05/2010
Par conséquent, la Grèce va entrer dans une récession déflationniste qui durera plusieurs années. Le chômage dépassera de loin les deux chiffres. La pauvreté, qui frappait déjà 20% de la population grecque, continuera d’augmenter. Et, dans quatre ans, avec un PIB nominal qui aura considérablement chuté, la Grèce et ses citoyens devront encore faire face à une dette colossale de 140% du PIB.