Bruxelles, 03/06/2010 Lors de la rencontre, la délégation syndicale [[Composition de la délégation syndicale : John Monks, Secrétaire général de la CES Joël Decaillon, Secrétaire général adjoint de la CES Bernard Thibault, Secrétaire général de la CGT (Confédération générale du travail - France) Yannis Panagopoulos, Président de la GSEE (Confédération générale des travailleurs grecs).]] mettra en avant ses priorités :

Bruxelles, 31/05/2010 La CES a constamment fait pression en faveur d’une solution pacifique au conflit israélo-palestinien axée sur la création de deux Etats, ce qui risque d’être compromis suite à cet assaut indéfendable. La CES soutient l’action strictement humanitaire qu’ont exprimée ses affiliés turcs en parlant de l’approvisionnement d’une aide.

Bruxelles, 28/05/2010 Plusieurs sujets seront à l’ordre du jour comme : l’aggravation de la crise en Europe et ses conséquences, l’état des lieux du chômage et de la crise sociale, la situation de l’euro, la réglementation financière. Seront également débattus : la révision de la directive sur le temps de travail, les services publics, la gestion et le financement des politiques climatiques et le débat sur la simplification de la législation (Better regulation).

Bruxelles, 19/05/2010 « À présent que certains gouvernements suspendent même les transferts d’aide vers la Colombie en réaction aux activités illégales de la DAS, il semble évident qu’il n’y a pas de voie crédible pour que ces négociations puissent se conclure de cette manière », a remarqué John Monks, secrétaire général de la CES. « La CES réitère notre demande – partagée par les trois centrales syndicales en Colombie – que l’ALE ne soit pas signé dans les circonstances présentes. »

Bruxelles, 17/05/2010 La CES est à la pointe de la lutte pour la défense des droits humains. Cette lutte ne concerne pas uniquement les droits syndicaux mais couvre également un fort engagement en faveur de l’égalité de traitement et de la non-discrimination ainsi que du respect et de la dignité des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles (LGBT).

Bruxelles, 14/05/2010 Ces plans de rigueur reflètent certaines conditions sévères décidées récemment par les autorités européennes, conditions plus dures encore que celles décidées par le Fonds monétaire international dans des cas similaires.

Bruxelles, 11/05/2010 Le risque est réel pour les pays qui feront appel à ce soutien de devoir mettre en place des réductions drastiques des dépenses publiques susceptibles de précipiter l’économie dans une récession prolongée entraînant ainsi une sérieuse augmentation du chômage. Les travailleurs vont probablement devoir à nouveau supporter le coût de la crise. Pour la CES, les modalités d’aide sont trop sévères et les finances européennes doivent être utilisées dans le but de soutenir la croissance économique et l’emploi.

Bruxelles, 07/05/2010 Selon John Monks, Secrétaire général de la CES: « L’Europe a sauvé les banques. Le système social et les normes du travail équitable sont tout aussi importants, et même plus importants que les banques, et ne devraient pas pouvoir être anéantis par les spéculateurs ». Pour combattre l’incendie de la spéculation avec le feu de l’unité européenne, la CES incite vivement les chefs d’Etat et de gouvernement à faire preuve du même courage et de la même créativité que lorsqu’ils ont sauvé les banques:

Bruxelles, 06/05/2010

Bruxelles, 05/05/2010 “On n’a pas hésité à sauver les banques en 2008. Elles ont obtenu ce qu’elles voulaient. A l’époque, il n’y avait aucune doctrine en matière de risque moral. Aujourd’hui, tous les pays de l’UE devraient traiter la Grèce avec respect, sans racisme de la presse populaire; avec sympathie, et sans mépris; avec générosité, et sans suspicion” déclare John Monks.

Bruxelles, 04/05/2010 Par conséquent, la Grèce va entrer dans une récession déflationniste qui durera plusieurs années. Le chômage dépassera de loin les deux chiffres. La pauvreté, qui frappait déjà 20% de la population grecque, continuera d’augmenter. Et, dans quatre ans, avec un PIB nominal qui aura considérablement chuté, la Grèce et ses citoyens devront encore faire face à une dette colossale de 140% du PIB.

Bruxelles, 30/04/2010