Bruxelles, 14/04/2005
Ils ont en particulier salué l'Article I-48, qui reconnaît le rôle des partenaires sociaux au niveau européen et qui prend en compte respectivement la diversité des relations sociales nationales et l'autonomie du dialogue social.
Après vingt ans d'existence, le dialogue social européen a fait la preuve de sa valeur.
Tant les entreprises que les travailleurs ont besoin d'une Union européenne forte, capable de prendre des décisions garantes de leur avenir.
Pour plus d'informations :
Paris, 07/04/2005
To be checked against delivery
Monsieur le Secrétaire général, chers délégués, chers invités de la CFDT, je suis heureux de représenter la CES aujourd'hui et exprimer pourquoi la CES soutient le traité constitutionnel.
Nous nous retrouvons à un moment de grands défis pour les travailleurs européens.
Bruxelles, 01/04/2005
L'institut de recherches de la CES (ISE), son académie syndicale (ASE) et son bureau technique syndical pour la santé et la sécurité (BTS) ne constitueront à partir de ce jour plus qu'une seule entité composée de trois départements (ISE-RFSS). Ce nouvel institut regroupera tout un potentiel d'expertise et d'expérience totalisant 60 personnes.
Bruxelles, 24/03/2005
Il est à présent essentiel d'utiliser avec intelligence cette « nouvelle » approche du pacte de stabilité. La flexibilité des règles fiscales au niveau national devrait être compensée par une coordination au niveau européen.
La Commission et le Conseil devraient veiller :
Bruxelles, 16/03/2005
Suite à la décision du Conseil de reporter l'ouverture des négociations, le Secrétaire général de la CES a déclaré : « Il est dommage que la Croatie n'ait pas accédé à la demande du Tribunal pénal international pour l'ancienne Yougoslavie et j'espère qu'une solution sera vite trouvée. Le fait que les démarches concernant le cadre de négociations ait été conclu prouve que la Croatie est prête sous bien d'autres aspects à s'engager dans ces négociations »
Bruxelles,le 16 février 2005
La CES est convaincue que la transition vers une économie moins intensive en carbone est une occasion unique pour le progrès social et la création d'emplois de qualité. L'examen de la politique environnementale 2004 montre que l'éco-industrie en Europe emploie déjà plus de 2 millions de personnes et continue à croître d'environ 5% par an.
Bruxelles, 11/02/05
John Monks, Secrétaire général de la CES a déclaré : «{J'espère que la Commissaire Hübner s'est trompée lorsqu'elle a dit que l'évasion des emplois (délocalisations) devait être encouragée, ce serait alors une déclaration grossière, insensible et inepte.»
«Il y aura quelques délocalisations mais elles ne doivent pas être un caprice des entreprises et des mesures de sauvegarde sont nécessaires.»
Bruxelles, 09/02/05
Dans sa communication sur l'agenda social, le Commissaire Spidla a réussi à faire en sorte que la politique sociale ne soit pas reléguée au second plan et reste une priorité d'action au niveau européen. Cette position n'était pas évidente si l'on se souvient des déclarations faites la semaine dernière sur la révision de la stratégie de Lisbonne.
Bruxelles, 21/01/2005
John Monks, Secrétaire Général de la Confédération européenne des syndicats (CES) a rencontré le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, en compagnie de Philippe de Buck, Secrétaire Général de l'UNICE.
Bruxelles, 20/12/2004
La Confédération européenne des syndicats (CES) et les confédérations syndicales belges, espagnoles et italiennes, ont assuré une participation active à la récente Conférence globale sur le changement climatique (COP10) de Buenos Aires
Bruxelles, 16/12/2004
L'adhésion de la Turquie est l'un des défis majeurs pour l'Europe dans les années à venir, c'est pourquoi la Confédération européenne des syndicats (CES) appelle le Conseil européen des 16 et 17 décembre de 2004 à ouvrir les négociations de l'intégration de la Turquie à l'Union européenne en se tenant aux critères définis au Sommet de Copenhague.
Bruxelles, 15/12/03
Les chefs d'Etat et de gouvernement ne sont pas parvenus à éviter une crise européenne majeure lors de la dernière Conférence intergouvernementale (CGI). La CGI a été interrompue par une minorité de pays plus intéressés par l'existence de capacités de blocage nationales que par l'adoption de procédures décisionnelles efficaces en Europe, ce qui s'est soldé par la non-adoption de la Constitution européenne et la mise en suspens du travail de la Convention européenne et de la CIG.